J’ai récemment eu l’occasion de citer le témoignage de Noël Daniele, ancien raseteur qui nous fait l’amitié d’être présent parmi nous. Voici ce qu’il disait à propos de Robert Marchand : Un corps d’athlète au service d’une gueule de jeune premier de cinéma, un port de tête conquérant, ainsi apparaissait Robert pour le profane assis